PreCop 27 : L’INPP présente ses filières de formation comme une contribution à la lutte contre le changement climatique

Dans la bataille effrénée contre le changement climatique, la formation professionnelle et le transfert des technologies restent des éléments indispensables. L’Institut National de Préparation Professionnelle (INPP), a au cours d’une session parallèle organisée, ce mercredi 05 octobre, en marge des travaux préparatoires de la COP27, présenté ses filières de formations professionnelles, comme une contribution notable de la RD Congo, à la lutte globale contre ce fléau.

« Aujourd’hui, on ne peut pas parler dans la préservation de l’environnement et de la gestion efficiente de nos écosystèmes sans parler de la formation professionnelle de la population congolaise. L’INPP est représenté ici dans son volet transfert des compétences, pour apporter son apport à cette question », a indiqué Ingénieur Idriss Mufuka Kudiye, expert en Energies renouvelables.

Selon Monsieur Mufuka, l’INPP est l’unique établissement public spécialisé dans la formation professionnelle. En cette qualité, son institution ne ménage aucun effort pour appuyer l’Etat congolais dans la recherche des solutions susceptibles de l’aider à atteindre les objectifs qu’il s’est fixés dans sa Contribution déterminée au niveau National (CDN).

« INPP, au nom de son directeur général, Monsieur Patrick Kayembe Nsumpi pour dire qu’aujourd’hui avec ce boom environnemental, nous sommes disposés à accompagner l’Etat congolais dans ce processus de lutte contre le réchauffement climatique. Mais également, dans la mise en œuvre des objectifs du développement durable », a-t-il renchéri.

Notons que l’INPP dispose à la clé, une série de formations liées au secteur de l’environnement. Il s’agit notamment de la formation sur les énergies renouvelables, l’agroalimentaire, le bâtiment et génie civil avec les constructions écologiques, etc.

« Avec la vision de notre directeur général, INNP aujourd’hui est en mesure non seulement de développer les compétences et les sanctionner, mais également d’accompagner ses apprenants dans l’insertion socioprofessionnelle », a conclu Idris Mufuka.

Latifah SOULEYMANE

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