La population se doit d’adopter de bonnes pratiques environnementales en vue d’empêcher des maladies respiratoires qui pourraient subvenir de temps en temps au cours de ces 3 prochains mois. Cette alerte a été lancée par la Ministre de l’Environnement de l’Angola, Paolo Francisco.
Dans cette période de l’année qui part du 15 mai au 15 juillet, les risques de pollutions sont souvent hauts à cause notamment de la combustion anarchique, qui provoque l’émission de particules solides et liquides, en plus des substances biologiques qui détériorent, sérieusement, la qualité de l’air, informe le ministère dans un communiqué.
« C’est exactement dans cette période de l’année, que l’on enregistre l’occurrence de plusieurs maladies respiratoire comme, la pneumonie, l’asthme, la grippe, la conjonctivite, la bronchite asthmatique chez les adultes, mais surtout chez les enfants », renseigne ce communiqué.
Pour prévenir ce désastre, la Ministère de l’Environnement invite toutes les communautés à des pratiques de durabilité environnementale, afin de préserver non seulement la qualité de l’air, mais surtout celle de l’eau, denrée devenue plus rare pendant cette période de Cacimbo.
La République d’Angola reste engagée dans la lutte contre toutes formes de pollutions en réduisant leurs impacts par le développement de l’économie verte. Le pays s’implique davantage dans la production d’une législation spécifique relative au Pollueur-payeur à plusieurs niveaux de contamination d’une part, et d’autre part, des documents relatifs au Plan national de Qualité de l’Eau, de l’Air et du Sol, en partenariat avec d’autres secteurs.
Alfred NTUMBA