Le 16 septembre de chaque année, le monde entier célèbre la journée internationale de la protection de la couche d’ozone. Pour cette année, le monde peut se permettre un optimisme environnemental, du fait que le trou qui était observé dans la couche d’ozone continue à se résorber. Une guérison consécutive à l’interdiction des substances responsables de la dégradation de ladite couche.
Ce n’est pas tous les jours que nous recevons les bonnes nouvelles pour notre planète qui depuis un temps est devenue la victime des activités anthropiques. Trente ans après la signature du traité de Montréal interdisant l’utilisation des substances causant la destruction de cette couche d’ozone essentiellement les gaz fluorés, le bilan semble modestement positif. La taille du trou a diminué de quatre millions de kilomètres carrés depuis l’année 200 et se résorbe un peu plus rapidement actuellement. Comme prévu dans les années 1980, il pourrait être entièrement rebouché d’ici à 2025.
Parallèlement, le concentration des substances nocives pour la couche d’ozone a diminué de 10 à 12 % dans la troposphère et la stratosphère depuis leur maximum atteint pendant la décennie 1990.
Découverte entre les années 1970 et 1980, la destruction de la couche d’ozone, est censée protéger les humains contre les rayons ultraviolets émis par le soleil.
Rappelons que ces rayons peuvent affaiblir le système immunitaire humain, provoquer des cancers de la peau ou des maladies oculaires. Les UV sont tout autant nocifs pour le reste des êtres vivants perturbants la photosynthèse des plantes ou le développement des organismes marins.
Thierry-Paul KALONJI