Il s’agit notamment de donner aux participants une compréhension du cadre législatif sur la faune sauvage en RDC ainsi que des impacts de la criminalité faunique sur les espèces sauvages en RDC et discuter des problèmes qui sous-tendent la commission des infractions contre les espèces sauvages ; comprendre la gestion appropriée des preuves qui contribueront au succès des affaires devant les juridictions de jugement ; présenter aux participants des procédures opérationnelles standard, qui constituent un outil important pour la normalisation des enquêtes et des poursuites en matière de crimes contre les espèces sauvages en RDC ; identifier et appliquer des solutions qui amélioreront la gestion des cas d’espèces sauvages ; ainsi que faire comprendre aux participants les régimes de la mise en liberté provisoire et de détermination de la peine en RDC, ainsi que le rôle joué par un officier de justice et l’impact de la technologie sur la justice.
Les participants ciblés par ces assises dont : les agents d’application de la loi, les agents de la gestion de la faune, les enquêteurs et des magistrats qui connaissent des infractions liées aux espèces de faune sauvage en RDC ont tous été gratifiés des certificats de participation à la clôture.
Ces assises organisées sous forme d’ateliers pendant deux jours ont été financées par le Bureau des affaires internationales des stupéfiants et de l’application de la loi des États-Unis (INL). Il sied de noter que, cette activité s’inscrit dans le cadre de l’objectif 3 de la nouvelle stratégie 2020-2030 de AWF qui est : « conserver la faune africaine in situ et réduire le braconnage et le trafic comme principales causes du déclin de la faune ».
Avec la Celcom d’AWF