« On est là pour présenter les outils que notre projet a eu à élaborer au niveau du parc national de la lomami ; nous avons un projet de suivi et de plaidoyer pour l’implication des parties prenantes dans la gestion de ce nouveau parc, c’est une nouvelle aire protégée qui est la seule qui a été créée après la lois de 2014 », a déclaré Blaise Mudodosi, coordonnateur d’APEM.
Cette activité s’inscrit dans le cadre du projet « Suivi et plaidoyer auprès des parties prenantes pour une gestion inclusive du parc national de la Lomami ».
Pour une évaluation sur l’implication des communautés locales et peuples autochtones riveraines de parc national de la Lomami, afin d’identifier les pistes de réduction des conflits existant entre les Parcs et les communautés dans les aires de conservation de la nature en RDC, APEM avait bénéficié en 2018, du soutien financier de la Fondation Arcus via la RFUK (Rain Forest UK).
Les Associations et Organisations de défense des droits des peuples autochtones, plaident pour la mise en application de toutes les résolutions reformulées à l’issue de ce processus.
Andjelani Mbi Ange, conseiller juridique de l’ONG AMAR : « Nous attendons de ces assises, les respects des normes, mais aussi l’applicabilité de tout ce qui sera prise ici comme résolution, parce que normalement nous sommes là pour accompagner l’état dans ces mesures, mais également aussi veiller au respect des droits de ces peuples-là qui sont les premiers garants qui assurent cette protection, cette gestion au quotidien de nos ressources vertes ».
Sont entre autres considérés comme des aires protégées à cause de leurs valeurs naturelles pour la biodiversité : les réserves naturelles intégrales, les parcs nationaux, les jardins zoologiques et botaniques. Pour rendre inclusif le processus, ce même programme d’atelier a déjà été organisé à Opala dans le Tshopo, à Kisangani et bientôt à Kindu.
Sebrown NSIMBA