Les nouvelles essences identifiées sont des abres qui ne sont pas assez exploités en province, qui peuvent aussi générer des moyens pour ses commerçants, et rendre un bon service à leurs consommateurs.
Organisées par la division provinciale de l’Environnement à travers l’appui financier de la GIZ, ces assises ont pour objectif d’outiller les participants sur la promotion, l’exploitation, l’utilisation rationnelle du bois en général et des essences nouvelles peu connues en particulier, et promouvoir l’utilisation de ces bois dans la construction des mobiliers.
Depuis plusieurs décennies, les exploitants et vendeurs du bois d’œuvre de cette province font souvent recours à seulement trois espèce de bois. Notamment, le Mufula, le Liboyo et le Mutondo. Ils devront désormais compter parmi leurs marchandises, le Mambo, le Kazabumbu, le Kamema et le Kempanga mpanga.
« Au cours de cet atelier, toutes les parties prenantes seront invités à ignorer l’exploitation de ces trois espèces prisées par le marché du bois », a précisé Amisi Mabe, chef de bureau Promotion et valorisation du bois à la Division provinciale de l’Environnement.
Gentil Muyombo Mwananyingi, depuis Kindu
