Madame Sarah, c’est comme ça elle aime bien être appelée. Elle est l’image de proue de la rédaction de Environews Télévision, un média thématique axé sur l’environnement et la santé. Sarah Mangaza Kakasi a fait son entrée au sein de cet organe de presse en 2020, pendant l’épopée Coronavirus. Journaliste productrice de l’émission « Santé d’abord », elle intègre la rédaction de cette grande chaîne de télévision, quelque mois après. Elle y travaille à la fois pour son émission et pour la production des nouvelles.

Rigoureuse et professionnelle, elle se fait remarquer par sa hiérarchie et trouve confiance. Elle est aujourd’hui à la tête de la rédaction d’Environews TV. Sarah Mangaza est la première femme à occuper ce poste. Elle est passionnée des questions liées à la santé dont on ne parle pas mais qui ont besoin d’être éclairées pour être mieux comprises par le grand public.

Licenciée en journalisme à l’IFASIC, elle a engrangé plusieurs formations dans d’autres domaines comme le secrétariat, l’Administration et le journalisme environnemental.

Pour faire progresser l’égalité entre les sexes dans le contexte de la crise climatique et de la réduction des risques de catastrophes, cette brave femme envisage de s’impliquer dans les questions liées à l’environnement en vue de contribuer à cette lutte qui est une affaire de tous !

Rédactrice en chef au sein de Environews-RDC depuis le 06 janvier 2022, Sarah Mangaza assure son travail comme il se doit et fonctionne également comme journaliste reporter dans l’équipe de rédaction.

Dans la pratique quotidienne de ses fonctions, Sarah Mangaza éprouve pas mal de difficultés. Comme le manque d’intervenants, surtout les femmes car peu sont celles qui se sentent engagées dans les questions liées à l’environnement. Au-delà de tout, Madame Mangaza reste toujours positive et déterminée.

Très courtoise de caractère, et respectueuse, pour Sarah Mangaza , « seule la détermination, le courage et la patience font réussir ».

A l’occasion de la journée internationale de la femme, elle demande à toutes ces femmes qui pensent que les questions liées à l’environnement sont moins importantes de s’y intéresser, car la survie de la planète en dépend.

Et à celles qui pensent que seuls les hommes sont capables de traiter les grandes questions, il n’existe pas de quotient intellectuel féminin ou masculin. « Tous sommes capables de relever les défis environnementaux. Il suffit juste de s’informer, se former et travailler pour y arriver car, seul le travail paie. La vie n’offre pas de cadeau », a-t-elle conclu.

S. Tenplar NGWADI.