« Je suis vraiment passionnée par l’environnement parce que tout ce que nous faisons est lié à l’environnement. Nous sommes confrontés aux défis liés au changement climatique. La raison pour laquelle je suis focalisée dans ce domaine mais aussi parce que j’ai constaté qu’il n’y a pas assez des journalistes femmes qui évoluent dans ce secteur« .
Née à Kinshasa, elle est cadette d’une grande famille de 10 enfants dont 4 garçons et 5 filles vivants et une autre qui a déjà rejoint le paradis. C’est en 2017 qu’elle s’est inscrite à la plus grande école du journalisme en RDC , l’Institut Facultaire des Sciences de l’information et de la Communication (IFASIC) où elle a obtenu son diplôme de graduat en sciences de l’information et de la communication et sa licence en gestion des entreprises de presse.
Peu avant de décrocher son diplôme de licence en 2021, elle avait rejoint l’équipe de la rédaction de Environews RDC, un média spécialisé dans les questions environnementales, après son stage académique en troisième année graduat.
Par sa carrure intellectuelle et ses capacités à collecter, traiter et diffuser une formation environnementale, Nelphie Mie avait attiré l’attention de ses encadreurs au sein de cette rédaction.
« Je souhaite continuer à informer le public sur les questions liées à l’environnement. Je rêve aussi voir un grand nombre de femmes journalistes dans le secteur environnemental pour former et informer le public« , a-t-elle indiqué.
Perspicace et engagée, cette jeune femme reste perspective quant à sa carrière de journaliste spécialiste des questions environnementales.
Après cinq ans de travail intense en tant que journaliste reporter, présentatrice de l’émission One planète et secrétaire de la rédaction sur Environews-RDC. Nelphie Mie mérite sa renommée dans le domaine de l’environnement pour ses nombreux fanatiques.
Que dire d’autres pour cette jeune célibataire qui a l’air sympathique devant tout le monde son amour pour l’environnement n’est pas à démontrer car elle se bat du matin au soir pour informer et sensibiliser le grand public sur les questions liées à l’environnement.
Silas MUNGINDA