Selon elle, cet engagement est l’une des preuves palpables de l’égalité entre l’homme et femme dans le domaine de la santé. Il est temps de mettre les inégalités de côté et de travailler main dans la main afin de renverser la tendance de cas de mortalité dans le pays.
« Je vis cette période comme tout le monde j’ai perdu des êtres chers et des proches, mais j’ai confiance en l’avenir, grâce à notre solidarité et nous viendrons
au bout de cette pandémie », a-t-elle déclaré.
Elle a par ailleurs salué le courage de ses collègues infirmières et les aides-soignants qui sauvent des vies en mettant les leurs en danger.
« Entant qu’ancienne aide-soignante j’imagine le sacrifice que le personnel soignant consent pour faire face à cette maladie. J’ai beaucoup d’admiration pour ses femmes et hommes qui sauvent de milliers de vies humaines. J’ai senti une grande implication des femmes dans la gestion de la covid-19 pour moi ces femmes
infirmières font preuve d’un grand courage », s’est-elle réjouie.
Grâce à sa fondation, elle envisage agir davantage sur les causes de la femme et l’éducation de la jeune fille, des axes clés pour espérer fournir au pays une réserve importante des femmes de qualité. « Il faut agir sur pour la cause de l’éducation de la jeune fille et maman, du plus important aux femmes de qualité. Ça sera un grand pas vers de l’évolution du pays », a-t-elle confié.
Après que le gouvernement ait instauré la gratuité de l’enseignement primaire, la première dame congolaise a dédié tout un axe de sa vision dénommée « Plus fortes » à l’éducation avec un accent particulier sur l’éducation des filles et des femmes en sciences et technologies, ingénierie et mathématiques. Sans oublier que les bourses universitaires de sa fondation sont accordées aux finalistes du Bac dans le but de contribuer à la création d’une élite féminine de qualité pour demain.