Dans son discours prononcé à l’occasion de la 75ème Assemblée générale de l’ONU, le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi s’est montré très soucieux de l’environnement. Il a relevé le fait que le changement climatique constitue une ménace pour l’homme et ses droits fondammentaux, particulièrement pour les populations vulnérables. Pour le Président la RDC, les effets du réchauffement de la planètte et les dérèglements climatiques qui l’accompagne se font de plus en plus sentir avec acuité dans le monde entier.
« Notre action en faveur du climat et de l’économie verte n’est pas simplement une nécéssité, mais plutôt une urgence et une obligation pour un avenir pacifique et durable« , a exhorté Félix Tshisekedi à ses homologues.
Il saisi l’occasion pour rappeler que la RDC a pris des engagements fermes et contregnants pour réduire ses émissions de gaz carbonique, en vue d’attenuer les effets du changement climatique.
« Nous sommes déterminés à tout faire pour parvenir à la mise en oeuvre de nos engagements, surtout en faveur du climat, entre autres, par la préservation de nos forêts« , a-t-il précisé.
Le chef de l’Etat congolais s’est souvenu des engagements prit lors de la 74ème Assemblée générale de nations unies, notamment celui d’instituer en RDC, des jardins scolaires et atteindre plus ou moins un milliard (1.000 000 000) d’arbres plantés sur le sol congolais à l’horizon 2030.
Selon lui, ce programme qui a été adopté par son gouvernement débute ses activités au dernier trimèstre de l’an 2020. Il vise en occurrence à réaliser un grand chantier communautaire de la restauration échologique et à fort bénéfice socio-économique, au profit notamment des populations urbaines et rurales.
« Nous attendons que nos partenaires respectent leurs engagements financiers, dans le cadre de la préservation de forêts tropicales, entre autres, celui du Fonds vert pour le climat créé en faveur des pays les moins avancés« , a martelé Félix Tshisekedi.
Désiré wembolowa.